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Le vieux maître oriental et JC VAN DAMME…

Dernière mise à jour : 16 juil. 2021

Jean-Claude Van Damme nous a montré le chemin : le vieux maître oriental fait éclore la sagesse en nous… Il est nécessaire de l’écouter et de lutter contre nos propres résistances.


« L’être humain se complaît dans le laisser-aller mais s’épanouit dans l’exigence de soi. » dit le Vieux Maître.

« Maître, » dit alors JCVD, « pourquoi avoir des défis à relever pour se sentir heureux ? » « Mais parce que cela stimule notre esprit et que cela nous pousse à donner le meilleur de nous-mêmes… » « Je ne comprends pas… » dit JCVD « Alors imagine que tu dois mourir ce soir : de tout ce que tu as fait cette semaine, qu’est-ce que tu conserverais sachant que tu vas disparaître ? » « Je pense que je conserverais 25%, ce n’est pas si mal non ? » « Hélas, » dit le vieux Maître, « si tu veux être en harmonie avec ce que tu fais, ce chiffre devrait être de 75%... » « Aïe » rétorqua JCVD, « si je faisais ça, je perdrais mon boulot… » « Tu as donc le choix de garder ou perdre ce boulot… » (Facile pensa JCVD) « Et si je perds mon boulot, je peux plus payer mon loyer ? » « Il te faudrait probablement trouver un logement moins cher, en effet… » « Et ma famille, et mes amis ?... » « Tu as le choix de les satisfaire ou de les décevoir …» dit le vieux Maître. (Bien la peine d’avoir fait 7000 km en avion… pensa JCVD).

Il rentra chez lui. Dans l’avion il finit par se dire : « Bon, je n’ai eu que des choix auxquels je ne peux faire face. Je n’ai pas envie, même si je suis malheureux au travail, de perdre ce travail et l’estime de mes proches. En revanche, peut-être ai-je le choix de me passer de « ces conflits intra-psychiques », de ne me voir que comme une victime, de vouloir un monde parfait alors que je suis loin de l’être. L’entreprise dans laquelle je travaille n’est pas parfaite, et moi non plus… la belle affaire. Pourquoi ne ferais-je pas le choix d’être heureux dans un monde imparfait ? »

Bien sûr, il n’y a que JCVD pour pousser la philosophie aussi loin… Nous on n’oserait jamais se poser ce genre de questions.


(extrait du stage Self-bientraitance)

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